Les derniers jours de nos pères

 Ne sachant pas si mon mémo de la veille vous a intéressés (c'est le mauvais côté de cette expérience, il faudrait que je voie comment vous permettre de laisser vos commentaires!), je continue avec le premier livre de Joël Dicker!

J'ai lu ce livre après avoir découvert le deuxième. Passionnée depuis toujours par le thème de la résistance au cours de la seconde guerre mondiale, j'ai été séduite lorsque j'ai découvert que cet auteur avait écrit sur le sujet. C'est donc le plus naturellement du monde que j'ai entamé la lecture de ce premier ouvrage de l'auteur.

 

J'ai d'abord été déçue car d'un point de vue historique et romancé, j'avais lu mieux (Ken Follet par exemple) et avec davantage de suspense; et puis j'ai compris que la richesse de cet ouvrage n'était pas là...

 

Au même titre que pour son troisième livre (mais ça, je ne le savais pas encore!), l'auteur avait placé la famille et les sentiments filiaux au coeur de l'intrigue et bien au-dessus de l'histoire... et du sentiment amoureux!

 

Le héros de ce roman choisit en définitive, malgré lui, de sauver son père... et plus encore,  l'idéal permettant à son papa de rendre "supportable" sa propre existence à venir.

 

A tel point qu'il ne connaîtra jamais son enfant.

 

A suivre demain ;)