Fin des énigmes !
Pour clore ce chapitre dédié aux "énigmes littéraires", je vous laisse déouvrir ci-après comme promis hier, le premier sonnet recensé entièrement constitué d'holorimes: Invitation.
Je t'attends samedi, car Alphonse Allais, car
À l'ombre, à Vaux, l'on gèle. Arrive. Oh ! la campagne !
Allons — bravo ! — longer la rive au lac, en pagne ;
Jette à temps, ça me dit, carafons à l'écart.
Laisse aussi sombrer tes déboires, et dépêche !
L'attrait (puis, sens !) : une omelette au lard nous rit,
Lait, saucisse, ombre, thé des poires et des pêches,
Là, très puissant, un homme l'est tôt. L'art nourrit.
Et, le verre à la main, — t'es-tu décidé ? Roule
Elle verra, là mainte étude s'y déroule,
Ta muse étudiera les bêtes ou les gens !
Comme aux dieux devisant, Hébé (c'est ma compagne)…
Commode, yeux de vice hantés, baissés, m'accompagne…
Amusé tu diras : « L'Hébé te soûle, hé ! Jean ! »
Derniers commentaires
J. D'ORMESSON n'est plus! Nous qui avons suivi Audrey au long de cette année ainsi qu' à travers son livre nous devinons son émotion mais lui souhaitons la même ferveur inépuisable d écrire! Réagisse
Le plaisir à te lire est nourricier comme la rosée apporte la fraicheur à une fleur qui a soif.
Que tu sois faite pour écrire est un fait que tu doives continuer une évidence
C'est peut-être différent selon les "uns et les autres"
Avec "Michel Polnareff "