Les écureuils de Central Park...
Troisième opus de la série, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi nous fait à nouveau entrer pleinement dans la vie intérieure et sociale des personnages : Joséphine découvre ses forces, Gary cherche son père, Philippe inaugure une nouvelle vie, Shirley apprend à aimer, Hortense fonce toujours mais commence à appuyer parfois sur « pause » et la petite Zoé s’épanouit. Tous sont à la recherche de leur place dans la vie, tous doivent apprendre à aimer.
Ce roman rencontre un vif succès : fin 2010, ce sont 15 000 exemplaires qui étaient vendus par jour !
Au début de l’ouvrage, on retrouve Hortense sur le chemin du retour d’une soirée à la fin de laquelle Gary l’embrasse ; alors qu’ils rentrent main dans la main, Gary est tout à coup refroidi par le discours d’Hortense, qui clame haut et fort qu’elle se refuse à toute émotion. Gary la laisse alors rentrer seule ; Hortense a mal.
Joséphine a du mal à se remettre du décès de sa sœur. Elle veut aussi oublier Philippe. Shirley, quant à elle, installée à Londres, rencontre un homme : Oliver Boone, un grand pianiste. Gary, son fils, veut étudier la musique. Shirley se rend compte qu’il grandit et qu’elle doit le laisser s’éloigner…
Derniers commentaires
J. D'ORMESSON n'est plus! Nous qui avons suivi Audrey au long de cette année ainsi qu' à travers son livre nous devinons son émotion mais lui souhaitons la même ferveur inépuisable d écrire! Réagisse
Le plaisir à te lire est nourricier comme la rosée apporte la fraicheur à une fleur qui a soif.
Que tu sois faite pour écrire est un fait que tu doives continuer une évidence
C'est peut-être différent selon les "uns et les autres"
Avec "Michel Polnareff "