La Valse lente des tortues a été publié en 2008. On y retrouve Joséphine et ses doutes, Hortense et sa ténacité, Zoé et ses premiers amours, Garry et ses rêves musicaux, etc.

On se plonge dans leur vie quotidienne, qui prend cette fois des airs de roman policier pimenté d’un brin de surréalisme…

Dans un langage simple, Katherine Pancol mêle les petites histoires de chaque personnage pour en faire une grande histoire du quotidien.

Pour répondre au souhait de sa fille Hortense, Joséphine a déménagé : elle a quitté la banlieue pour s’installer au cœur de Paris, où elle vit avec sa deuxième fille, Zoé qui, un weekend sur deux, va rejoindre Philippe et Alexandre qui habitent à Londres. Alors qu’il était président d’un cabinet d’avocats, Philippe s’est éloigné du monde des affaires pour consacrer son temps à Alexandre, son fils. Joséphine aime bien Philippe ; il est toujours disponible pour elle lorsqu’elle a un conseil à lui demander. Mais, comme c’est le mari de sa sœur, Iris, elle s’interdit tout sentiment qui irait au-delà de l’amitié. Par ailleurs, depuis un an, elle voit un homme, Luca. Quant à son mari, Antoine, il est mort six mois plus tôt ; Joséphine n’a pas eu le courage de le dire à Zoé. Hortense, elle, s’en est vite remise et est partie étudier en Angleterre dans une école de stylisme. Iris est hospitalisée pour dépression. Elle en veut à Joséphine car tout le monde a finalement su que c’est elle qui avait écrit le roman…